Ce que j’aurais aimé qu’on me dise sur l’organisation d’une maman

Pendant longtemps, j’ai cru qu’être organisée, c’était penser à tout.
Tout prévoir. Tout anticiper. Tout remplir.
J’avais cette image d’une “bonne gestion” comme un planning millimétré, une to-do blindée, une journée où chaque minute était optimisée.

Alors j’ai tout fait pour y parvenir.
J’ai planifié, listé, réorganisé, reprogrammé…
Je croyais que plus mes journées seraient pleines, plus je serais une maman accomplie.

Ce que je ne voyais pas, c’est que je ne laissais aucune place à l’imprévu.
Pire encore : je ne me laissais aucune place à moi.

Et à force de vouloir tout gérer… j’ai craqué.
Le burn-out.
Ce moment brutal où mon corps a dit stop, quand moi je voulais encore cocher des cases.

Ce que je croyais (à tort)

Je croyais qu’être organisée, c’était savoir tout faire. Toute seule.

Je pensais que demander de l’aide, c’était un aveu de faiblesse.

Je pensais que ma capacité à tout gérer définissait ma valeur en tant que mère.
Que plus j’en faisais, plus j’étais “une bonne maman”.

J’avais intégré cette idée étrange que le chaos, c’était normal — et que si je ne m’en sortais pas, c’était parce que je n’étais pas assez efficace.

Je me disais qu’il fallait que je sois irréprochable. Pas d’imprévus. Pas d’oubli. Pas d’espace vide. La performance avant tout…

Surtout, pas d’erreur.

Et plus je remplissais mes journées, plus je me sentais “en contrôle”…
Jusqu’au jour où je me suis effondrée.

Mon corps a dit “stop”. Mon mental a crié “à l’aide”.

Ce que j’ai découvert

J’ai compris — à la dure — que la santé mentale n’est pas une option.
Ce n’est pas quelque chose qu’on “gère plus tard”.
C’est le socle de tout. Et quand il s’écroule, tout s’écroule avec.

J’ai découvert que je n’avais pas besoin d’en faire plus.
J’avais besoin de mieux choisir ce qui comptait.

J’ai compris que ce n’était pas moi le problème.
C’était le fait d’essayer de vivre une vie de maman surchargée avec un modèle d’organisation qui ne laisse pas de place à la vraie vie.

Ce que je cherchais, ce n’était pas une to-do magique ou un agenda parfait.
Ce que je cherchais, c’était un endroit où déposer ma charge mentale.
Un endroit fiable. Stable. Rassurant.
Un cocon mental qui ne m’abandonne pas quand je suis fatiguée, submergée, au bord du trop.

Ce que je fais aujourd’hui

Aujourd’hui, je n’essaie plus de tout maîtriser.
J’ai construit un système doux, qui m’aide à poser, clarifier, et prioriser… sans me perdre.

Un espace qui s’adapte à mes hauts, mes bas, mes besoins du moment.
Un espace qui ne me juge pas, mais me soutient.

Cet espace, je l’ai créé dans Notion.
J’y ai mis tout ce que j’aurais aimé avoir quand j’étais au bout du rouleau :
des listes qui soulagent, des routines qui respirent, des pages qui m’aident à y voir clair quand mon cerveau sature.

C’est comme ça qu’est né Wonder Maman.
Pas un template “efficace”. Avec “tout ce qu’il faut pour être THAT Girl”. Non.

Un espace à taille humaine.
Un refuge d’organisation douce, pensé pour les mamans qui font de leur mieux chaque jour.

---

Si toi aussi tu te sens à bout.
Si tu as l’impression que tout repose sur toi, et que tu n’as plus de place pour respirer…
Ce n’est pas toi qui es “trop fragile”.
C’est le monde autour qui oublie que tu es humaine.

Tu n’as pas besoin d’en faire plus.
Tu as besoin d’un cadre qui prend soin de toi.
Un système qui t’aide à y voir clair, sans t’écraser.

C’est pour ça que j’ai créé Wonder Maman.
Un espace d’organisation doux, souple, rassurant.
Pour que tu puisses reprendre doucement la main sur ton quotidien.

Parce que tu le mérites. Et parce que ta charge mentale ne devrait plus être un poids que tu portes seule.